« À l’heure actuelle, les fournisseurs de prestations gagnent plus s’ils délivrent un médicament plus onéreux. C’est la raison pour laquelle les génériques et les biosimilaires au prix avantageux ne s’imposent pas en Suisse et qu’un énorme potentiel d’économies de plus de 100 millions par an reste inexploité. Pour éliminer ce mauvais incitatif, il faut instaurer des marges fixes qui rémunèrent les fournisseurs de prestations toujours dans les mêmes proportions, peu importe qu’il s’agisse d’un original ou d’une copie. »
Mathias Früh, responsable Politique de la santé & Public Affairs Helsana